Quand je me tourne vers mes souvenirs
je revois la maison où j'ai grandi
Il me revient des tas de choses
je vois des roses dans un jardin
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là et la maison,
les fleurs que j'aimais tant n'existent plus
Ils savaient rire, tous mes amis
ils savaient si bien partager mes jeux
mais tout doit finir pourtant dans la vie
et j'ai dû partir, les larmes aux yeux
Mes amis me demandaient "Pourquoi pleurer?"
et "Couvrir le monde vaut mieux que rester
Tu trouveras toutes les choses qu'ici on ne voit pas
Toute une ville qui s'endort la nuit dans la lumière."
Quand j'ai quitté ce coin de mon enfance
je savais déjà que j'y laissais mon cœur
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance
mais moi, je pense encore à leur bonheur
à l'insouciance qui les faisait rire
et il me semble que je m'entends leur dire:
"Je reviendrai un jour, un beau matin parmi vos rires,
oui, je prendrai un jour le premier train du souvenir."
Le temps a passé et me revoilà
cherchant en vain la maison que j'aimais
Où sont les pierres et où sont les roses
toutes ces choses auxquelles je tenais?
D'elles et de mes amis plus une trace,
d'autres gens, d'autres maisons ont volé leurs places
Là où vivaient des arbres, maintenant la ville est là
et la maison , où est-elle, la maison où j'ai grandi?
Je ne sais pas où est ma maison
la maison où j'ai grandi
Où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Ma maison, où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Françoise Hardy à Paris, le 6 décembre 2016. MERCI
Même s'il me faut lâcher ta main
sans pouvoir te dire "à demain"
rien ne défera jamais nos liens...
même s'il me faut aller plus loin
couper des ponts, changer de train
l'amour est plus fort que le chagrin...
l'amour qui fait battre nos cœurs
va sublimer cette douleur
transformer le plomb en or
tu as tant de belles choses à vivre encore...
tu verras au bout du tunnel
se dessiner un arc-en-ciel
et refleurir les lilas
tu as tant de belles choses devant toi...
même si je veille d'une autre rive
quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive
je serai avec toi comme autrefois...
même si tu pars à la dérive
l'état de grâce, les forces vives
reviendront plus vite que tu ne crois...
dans l'espace qui lie ciel et terre
se cache le plus grand des mystères
comme la brume voilant l'aurore
il y a tant de belles choses que tu ignores
la foi qui abat les montagnes
la source blanche dans ton âme
penses-y quand tu t'endors
l'amour est plus fort que la mort...
Françoise Hardy est morte à 80 ans : la voix de la mélancolie s’est envolée
Françoise Hardy est décédée à 80 ans, a annoncé son fils Thomas Dutronc, ce mardi 11 juin. Révélée dès ses premières chansons, elle devient vite une icône de la chanson française, ici comme à l’étranger, sortant, en plus de soixante ans de carrière, de nombreux albums remarquables. C’est donc un monument qui vient de disparaître, à la voix émouvante, à la plume élégante, aux mélodies délicates.
Dans le cadre d'un travail pour notre cours de Français (11ºL3 - Escola Secundária Ferreira Dias, Agualva-Cacém), Ariana et Eric nous ont fait découvrir:
Photomontage réalisé par Ariana et Eric
PAROLES
La puissance, que la puissance
J'ai pas connu la défaite depuis mon existence
Gros, j'm'en sors bien, suis-je un miraculé?
Parle en français, parle en cash ou prends tes distances
Ramenez-moi la tête, je reste content, passe un tabac
Qu'est-ce qu'tu m'parles? Dans ta zone, t'es qu'un guetteur
Ceux qui pensent me connaître me connaissent pas
Maintenant, j'suis rodave comme les bacqueux dans mon secteur
T'es dans la merde, j'suis au fond d'un carré V.I.P, ces bâtards sont à la dèche
T'es mon adversaire, t'as pas d'chance, tu veux tej' la bouteille à la mer
Où sont les vrais? Ceux qui parlent peu, ils frappent fort, à l'affût de tous les dièses
Recule-toi et laisse-moi faire, quand les opposés s'attirent mon gars, c'est là que les balles se perdent
Rien qu'elles s'perdent et même toi, t'es du-per, toujours attendu comme un rayon d'soleil
Gros, c'est la puissance, rien que la puissance, respecte le protocole, gros y'a pas d'secret
REFRAIN
La puissance
Gros, c'est la puissance, c'est la puissance
La puissance
Gros, c'est la puissance, c'est la puissance
La puissance
Gros, c'est la puissance, c'est la puissance
La puissance
Gros, c'est la puissance, c'est la puissance
Ça revient plus fort, j'suis toujours le même
C'est moi contre moi, toi tu finis par terre
Mon bigo sonne, j'suis en mode avion
Pour qu'j'arrête, faut qu'on m'tranche les cordes vocales
Ça blesse, MHD, Afro Trap partie 7, le projet est dans les bacs
J'ai la grinta, tout est bon, oui tout est félé, la Moula Gang n'oubliera pas
J'ai rien vu, j'ai rien entendu, j'ai rien dit, mais du sale je vous promets
Tu m'attendais, cálmate, j'arrive, 2017, on reprend les hostilités
Ils ont voulu m'boycotte sans y arriver, seul Dieu pourra m'en protéger
Le chemin est long, je compte plus d'ennemis que d'alliés
J'suis seul, j'ai besoin d'personne
M'man prie pour moi, offensive est la guerre, ils l'auront tôt ou tard
Le Chœur des Jeunes de Laval (CJL) est un chœur à voix mixtes dont les membres sont âgés entre 17 à 28 ans. Il compte plus d'une quarantaine de choristes. Ce sont tous des gradués des Petits Chanteurs de Laval et des Voix Boréales. La direction musicale et artistique du groupe est assurée par Philippe Ostiguy.
Une tache, une ombre et dans le désert
Des traces de poudre et de safran
Des taxis blancs, des claquements de portières
Un vrai mélange de sentiments
Madrid, Madrid
Le prix que je paie
C'est encore quelques heures sans sommeil
Pour me souvenir de toi
Puerta del Sol station du métro
Sortie vers la Plaza Mayor
Je suis à l'heure je crois même que j'en fais trop
Une vraie doublure dans un décor
Madrid, Madrid
Tu peux me faire signe
Tu peux brouiller mes mots sur la ligne
Quand je parlerai de toi
Bonsoir y buenos días
(et jusqu'au dernier détail)
Miroir si has de ser mí espía
(ses yeux derrière un éventail)
Madrid, Madrid
Les choses que je pense
Ont un p'tit air d'accordéon rance
Quand elle n'est pas avec moi
Madrid, Madrid
Le prix que je paie
C'est encore quelques heures sans sommeil
Pour me souvenir de toi
Toda una tarde en el Retiro
Echando piedras a un farol
Els meus amors se han derretido
Con tanta luz y tanto sol
Madrid, Madrid
Me pongo triste
Al ver lo bien que tu te vistes
Si se han a reir de ti
Bonsoir y buenos días
(et jusqu'au dernier détail)
Miroir si has de ser mí espía
(ses yeux derrière un éventail)
Une tache, une ombre et dans le désert
Des traces de poudre et de safran
Des taxis blancs, des claquements de portières
Un vrai mélange de sentiments
Madrid, Madrid
Me desesperas
De tanto mover las caderas
Se van a reir de ti
Nilda Fernandez en concert à Tours (juin 2010). ar Joël Thibault — Travail personnel, CC BY-SA 4.0/Wikimedia.org
Le chanteur Nilda Fernandez est mort à l’âge de 61 ans
L’interprète de « Nos fiançailles » et « Madrid Madrid » est mort dimanche d’une insuffisance cardiaque.
Né à Barcelone, il a grandi à Lyon et voyagé avec sa guitare, « jouant dans les bars, les clubs et autres petits lieux, au hasard des rencontres et des opportunités », selon son site internet. En 1981, il enregistre un premier album. Après six ans d’éloignement, période pendant laquelle il fait des « boulots » sans rapport avec la musique, Nilda Fernandez revient en 1987 avec Madrid Madrid, qui est un succès.
«Être artiste est une profession de foi basée sur une envie profonde de faire ce qu’on aime et non par désir d’avoir du succès. J’ai vécu de mon travail, et encore aujourd’hui, et j’aime ma carrière parce qu’elle n’a jamais dépendu du regard des autres. Il y a deux manières de vivre : soit exister dans le regard des autres, soit faire exister les autres à travers soi. J’ai plutôt tendance à choisir cette deuxième option.»
I am me, and I know I will always be
Je suis free, oui, j'invente ma vie
Ne me demandez pas qui je suis
Moi je suis, le même depuis tout petit
Et malgré les regards, les avis
Je pleure, je sors et je ris You put me in a box, want me to be like you
J'suis pas dans les codes, ça dérange beaucoup At the end of the day, you cannot change me, boo
Alors, laisse-moi m'envoler I, I'm not rich, but I'm shining bright I can see my kingdom now
Quand je rêve, je suis un roi
Quand je rêve, je suis un roi I'm not rich, but I'm shining bright I can see my kingdom now
Quand je rêve, je suis un roi And I know-oh-oh-ow, even though-oh-oh-oh You try to take me down, you cannot break me, nah, nah
Toutes ces voix "fais comme ci, fais comme ça"
Moi, je les cala pas*, you can never remove my crown Who are we? When we hurt, when we fight for free Only God can judge you and me
Ce qu'on est, on ne l'a pas choisi
On choisit
Son travail, sa coiffure, ses amis
Sa routine, parfois l'amour aussi
Ça passe ou ça casse, mais ça regarde qui? I, I'm not rich, but I'm shining bright I can see my kingdom now
Quand je rêve, je suis un roi
Quand je rêve, je suis un roi I'm not rich, but I'm shining bright I can see my kingdom now
Quand je rêve, je suis un roi And I know-oh-oh-ow, even though-oh-oh-oh You try to take me down, you cannot break me, nah, nah
Toutes ces voix "fais comme ci, fais comme ça"
Moi, je les cala pas*, you can never remove my crown
Quand je rêve, je suis un roi
*je les cala pas - je les calcule pas (ARGO) = je ne les supporte pas, je les ignore.) Eurovision : qui sont Lizzy Howel et Lin Ching Lan, les deux danseuses hors normes de Bilal Hassani Elodie Hervé
HORS-NORMES - L'Américaine Lizzy Howell et la Taïwanaise Lin Ching Lan seront aux côtés de Bilal Hassani pour sa prestation à l'Eurovision, ce samedi soir. L'une est en surpoids, l'autre est sourde de naissance. Deux danseuses dont la présence sur scène est, à elle seule, un manifeste pour la tolérance et contre les idées reçues.
La chanson de Bilal Hassani est une ode à la tolérance. La présence de ses deux danseuses sur scène ce samedi soir à Tel Aviv, le sera tout autant. Le chanteur sera accompagné de Lizzy Howell, 18 ans et Lin Ching Lan, 32 ans. Deux femmes hors-pair qui ont fait de leur vie un combat contre les normes imposées et les discriminations.
Magnifique hommage! Izia et Arthur H ont rendu hommage à leur père, Jacques Higelin, décédé le 6 avril 2018, en interprétant "Je ne peux plus dire je t'aime", aux Victoires de la Musique.
PAROLES
Je ne peux plus dire je t'aime
Ne me demande pas pourquoi
Je ne ressens ni joie ni peine
Quand tes yeux se posent sur moi
Si dure que soit la solitude
Elle te ramène à ton destin
La loi du grand amour est rude
Pour qui s'est trompé de chemin
Je ne peux plus dire je t'aime
Sans donner ma langue à couper
Trop de serpents sous les caresses
Trop d'amours à couteaux tirés
Si dure que soit la solitude
Elle te ramène à ton destin
La loi du grand amour est rude
Pour qui s'est trompé de chemin
Je ne peux plus dire je t'aime
Ne me demande pas pourquoi
Toi et moi ne sommes plus les mêmes
Pourquoi l'amour vient et s'en va
Si la solitude te pèse
Quand le destin te mène ici
Et qu'un ami t'a oublié(e)
Tu peux toujours compter sur moi
Et qu'un ami vienne à manquer
Tu peux toujours compter sur moi
D'abord j'ai perdu des amis
J'ai perdu du temps
Ensuite je t'ai perdu toi aussi
Pourtant dieu sait que dans ma vie
Tu fais la pluie et le beau temps
J'sais plus comment les attraper
Les mains qu'on me tend
Bien sûr que je voudrais m'arracher
Des bras de la solitude qui m’enlaçait trop souvent
Si mon cœur est en verre
Comment voir à travers
Franchement
J'sais pas moi-même
Ce que je ressens
REFRAIN Je sais pas comment je vais faire, non J'assiste à mon propre enterrement Je n'ai pas besoin de fleurs Je veux qu'on m'offre des jours meilleurs Y a rien ni devant ni derrière, non Je sais pas comment je vais faire, non M'en sortir, j'en fais le serment La douleur, je préfère en rire De toute façon y a rien à dire Alors je la porte fièrement
Bientôt je me lèverai de mon lit
Pour marcher un peu
Adieu jolie mélancolie
Je veux plus de toi dans ma vie
T'as trop traîné dans mes yeux
Mes yeux, tatoués de nuits blanches
Se ferment pour toi
Des souvenirs en avalanche
Et c'est l'effet boule de neige
Qui me ramène dans tes bras
J'ai le cœur en hiver
Longtemps que j'ai paumé le printemps
J'sais pas vraiment ce qui m'attend
REFRAIN
Pardonnez-moi si je vous ai lâché
Pardonnez moi, j'étais écorchée
Je panse mes plaies une à une
Et tout ce temps que j'ai semé
Et tous ces mots qui m'ont sonnée
J'avance blessée mais sans rancune
Je sais pas comment je vais faire, non
J'assiste à mon propre enterrement
Je sais pas comment je vais faire, non
M'en sortir j'en fais le serment
La douleur je préfère en rire
De toute façon y a rien à dire
Alors je la porte fièrement
Je sais pas comment je vais faire, non
Je sais pas comment je vais faire
Je sais pas comment je vais faire, non
Je sais pas comment je vais faire
Oh, Marie, si tu savais
Tout le mal que l'on me fait
Oh, Marie, si je pouvais
Dans tes bras nus me reposer
Évanouie, mon innocence
Tu étais pour moi ma dernière chance
Peu à peu, tu disparais
Malgré mes efforts désespérés
Et rien ne sera jamais plus pareil
J'ai vu plus d'horreurs que de merveilles
Les hommes sont devenus fous à lier
Je donnerais tout pour oublier
Oh, oh, oh, oh
Oh, Marie, si tu savais
Tout le mal que l'on me fait
Oh, Marie, si je pouvais
Dans tes bras nus me reposer
Et je cours toute la journée
Sans savoir où je vais
Dans le bruit, dans la fumée
Je vois des ombres s'entretuer
Demain ce sera le grand jour
Il faudra faire preuve de bravoure
Monter au front en première ligne
Oh, Marie, je t'en prie, fais-moi un signe
Oh, oh, oh, oh
Allongé dans l'herbe, je m'éveille
J'ai vu la mort dans son plus simple appareil
Elle m'a promis des vacances
La mort m'a promis sa dernière danse
Oh, Marie, si tu savais
Tout le mal que l'on m'a fait
Oh, Marie, j'attendrais
Qu'au ciel tu viennes me retrouver
Oh, Marie, j'attendrais
Qu'au ciel tu viennes me retrouver
Jacques Higelin, le 14 septembre 1986 lors de son concert à la Fête de « L’Humanité » à Paris.
ANDRÉ DURAND AFP
«Ce clip musical 3D a été réalisé en 2010 et 2011, par les vingt étudiants et étudiantes de la promo 3D d'année 2 à partir de la chanson "Champagne !" de Jacques Higelin, puis finalisé en 2012 dans le cadre de la Bourse aux Projets (BAP) de l'IIM.»
PAROLES
La nuit promet d'être belle
Car voici qu'au fond du ciel
Apparaît la lune rousse
Saisi d'une sainte frousse
Tout le commun des mortels
Croit voir le diable à ses trousses
Valets volages et vulgaires
Ouvrez mon sarcophage
Et vous pages pervers
Courez au cimetière
Prévenez de ma part
Mes amis nécrophages
Que ce soir nous sommes attendus dans les marécages
Voici mon message
Cauchemars, fantômes et squelettes
Laissez flotter vos idées noires
Près de la mare aux oubliettes
Tenue du suaire obligatoire
Lutins, lucioles, feux-follets,
Elfes, faunes et farfadets
S'effraient d'mes grands carnassiers
Une muse un peu dodue
Me dit d'un air entendu
Vous auriez pu vous raser
Comme je lui fais remarquer
Deux, trois pendus attablés
Qui sont venus sans cravate
Elle me lance un oeil hagard
Et vomit sans crier gare
Quelques vipères écarlates
Vampires éblouis
Par de lubriques vestales
Egéries insatiables
Chevauchant des Walkyries
Infernales appétits de frénésies bacchanales
Qui charment nos âmes envahies par la mélancolie
Envoi !
Satyres joufflus, boucs émissaires
Gargouilles émues, fières gorgones
Laissez ma couronne aux sorcières
Et mes chimères à la licorne
Soudain les arbres frissonnent
Car Lucifer en personne
Fait une courte apparition
L'air tellement accablé
Qu'on lui donnerait volontiers
Le bon Dieu sans confession
S'il ne laissait malicieux
Courir le bout de sa queue
Devant ses yeux maléfiques
Et ne se dressait d'un bond
Dans un concert de jurons
Disant d'un ton pathétique
Que les damnés obscènes cyniques et corrompus
Fassent griefs de leur peine à ceux qu'ils ont élus
Car devant tant de problèmes
Et de malentendus
Les dieux et les diables en sont venus à douter d'eux-mêmes
Dédain suprême
Mais déjà le ciel blanchit
Esprits, je vous remercie
De m'avoir si bien reçu
Cocher lugubre et bossu, déposez-moi au manoir
Et lâchez ce crucifix
Décrochez-moi ces gousses d'ail
Qui déshonorent mon portail
Et me chercher sans retard
L'ami qui soigne et guérit
La folie qui m'accompagne
Et jamais ne m'a trahi
Champagne !
Les filles sont jolies
Dès que le printemps est là bis
Mais les serments s'oublient
Dès que le printemps s'en va bis
Là-bas dans la prairie
J'attends toujours, mais en vain
Une fille en organdi
Dès que le printemps revient. bis
Je repense à ses yeux
Dès que le printemps est là bis
Je revois nos adieux
Dès que le printemps s'en va bis
Mais son image rôde
Au détour de mon chemin
Quand les soirées se font chaudes
Dès que le printemps revient. bis
REFRAIN Non, le temps n'y fait rien Oh non, le temps n'y peut rien
Je crois la retrouver
Dès que le printemps est là bis
Je cesse d'y rêver
Dès que le printemps s'en va bis
Après bien des hivers
Pourtant mon cœur se souvient
Comme si c'était hier
Dès que le printemps revient. bis
REFRAIN
Parfois je veux mourir
Dès que le printemps est là bis
Je crois toujours guérir
Dès que le printemps s'en va bis
Mais je sens la brûlure
D'une douleur qui m'étreint
Comme une ancienne blessure
Dès que le printemps revient bis
Dès que le printemps revient bis
Tous les garçons et les filles de mon âge
Se promènent dans la rue deux par deux
Tous les garçons et les filles de mon âge
Savent bien ce que c'est qu'être heureux
Et les yeux dans les yeux et la main dans la main
Ils s'en vont amoureux sans peur du lendemain
Oui mais moi, je vais seule par les rues, l'âme en peine
Oui mais moi, je vais seule, car personne ne m'aime
Mes jours comme mes nuits sont en tous points pareils
Sans joie et pleins d'ennui
personne ne murmure "je t'aime" à mon oreille
Tous les garçons et les filles de mon âge
Font ensemble des projets d'avenir
Tous les garçons et les filles de mon âge
Savent très bien ce qu'aimer veut dire
Et les yeux dans les yeux et la main dans la main
Ils s'en vont amoureux sans peur du lendemain
Oui mais moi, je vais seule par les rues, l'âme en peine
Oui mais moi, je vais seule, car personne ne m'aime
Mes jours comme mes nuits sont en tous points pareils
Sans joie et pleins d'ennui
oh! quand donc pour moi brillera le soleil?
Comme les garçons et les filles de mon âge connaîtrai-je
Bientôt ce qu'est l'amour
Comme les garçons et les filles de mon âge je me
Demande quand viendra le jour
Où les yeux dans ses yeux et la main dans sa main
J'aurai le cœur heureux sans peur du lendemain
Le jour où je n'aurai plus du tout l'âme en peine
Le jour où moi aussi j'aurai quelqu'un qui m'aime
J'avais oublié
À quel point on se sent petit
Dans les yeux d'un enfant.
Plus rien ne compte
Juste sa vie.
J'avais mis de côté
Tous ces instants
Qu'on croit acquis,
Ces instincts qu'on découvre.
Avec toi, je grandis moi aussi.
Et voilà qu'à nouveau
Je fais des projets dans ma vie
Pour te laisser du beau,
Rien que de l'amour, mais aussi
Je me prends à rêver
Qu'un jour, tu voudras partager
Ce qui de près ou de loin
Dans ma vie a compté.
REFRAIN Tu es mon plus beau Noël, Celui que je n'ai jamais eu. Tu es l'amour, la vie et le soleil, Ce à quoi je ne croyais plus.
Tu es mon plus beau Noël, Celui que je n'attendais pas. Ce merveilleux cadeau tombé du ciel, Celui dont rêvent tous les papas.
Il y a tellement de choses
Que j'aimerais te raconter
Pour te donner la force
Le courage de tout affronter.
Si je peux te transmettre
Ce formidable goût d'aimer,
De tous les hommes je serai
Le plus heureux, le plus comblé.
REFRAIN
Je serai pour toi le père,
Celui sur qui tu peux compter.
Tout ce que tu espères,
Je promets de te le donner.
REFRAIN
Toi mon amour, ma vie,
Mon étincelle,
Je suis le plus heureux,
Tu vois.