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mercredi 28 septembre 2016

WENDY NAZARÉ - Mon pays

MERCI: http://wendy-nazare.skyrock.com/2849945798-My-Major-Compagny.html


PAROLES

J'y ai grandi
J'ai dû m'en aller, moi

Même si c'est lui
Lui qui ne voulait pas

Moi, j'ai dû pleurer et j'ai dû partir

Je n'y suis plus
Je suis déchirée, moi

Tu es si loin
Je suis séparée, moi

J'ai dû pleurer et j'ai dû partir

Mon pays m'adorait
Cette fois, j'ai bien cru mourir
Ses rivages arrachés
En exil à jamais...

Comme le temps passe
Tu as bien changé, toi

Écoute-moi,
Même si tu m'en veux, toi

Je vis ailleurs et sous d'autres heures

Mon pays m'adorait
Cette fois, j'ai bien cru mourir
Ses rivages arrachés
En exil à jamais
Mon pays m'adorait
Cette fois, j'ai bien cru mourir
Ses rivages arrachés
En exil à jamais

J'y ai grandi
J'ai dû m'en aller

mardi 27 septembre 2016

GRÉGOIRE - Toi + moi




PAROLES

Toi plus moi, plus eux, plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui, plus elle et tous ceux qui sont seuls.
Allez, venez et entrez dans la danse.
Allez, venez, laissez faire l'insouciance.

À deux, à mille, je sais qu'on est capable,
Tout est possible, tout est réalisable.
On peut s'enfuir bien plus haut que nos rêves.
On peut partir bien plus loin que la grève.

Oh toi plus moi, plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui, plus elle, plus tous ceux qui sont seuls.
Allez, venez et entrez dans la danse.
Allez, venez, c'est notre jour de chance.

Avec l'envie, la force et le courage,
Le froid, la peur ne sont que des mirages.
Laissez tomber les malheurs pour une fois.
Allez, venez, reprenez avec moi :

Toi plus moi, plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui, plus elle et tous ceux qui sont seuls.
Allez, venez et entrez dans la danse.
Allez, venez,  laissez faire l'insouciance.

Je sais, c'est vrai, ma chanson est naïve,
Même un peu bête, mais bien inoffensive.
Et même si elle ne change pas le monde,
Elle vous invite à entrer dans la ronde.

Oh toi plus moi, plus tous ceux qui le veulent,
Plus lui, plus elle et tous ceux qui sont seuls.
Allez, venez et entrez dans la danse.
Allez, venez, c'est notre jour de chance.

L'espoir, l'ardeur sont tout ce qu'il te faut,
Mes bras, mon cœur, mes épaules et mon dos.
Je veux te voir des étoiles dans les yeux.
Je veux nous voir insoumis et heureux.

Oh toi plus moi, plus tous ceux qui le veulent,
Et lui et elle et tous ceux qui sont seuls.
Allez, venez et entrez dans la danse.

Allez, venez , laissez faire l’insouciance.
C’est notre jour de chance
Et entrez dans la danse

vendredi 23 septembre 2016

DUB INC - Grand périple




PAROLES

I feel it in my soul
Life with music and leave without it
Never want to miss it
From deep within my soul
Leave behind the sun dance for
A better life yes

Car c’est un…

REFRAIN
Grand périple
Même si la vie parfois représente un grand péril
Quand les galères pleuvent comme les intempéries
Chaque fois qu’il faut se dépasser
Affronter chaque épreuve t'aide à progresser
Grand périple
On n’a qu’une seule vie et chaque instant mérite
Qu’on puisse l’apprécier sans même penser à la suite
La route est longue, comment en profiter
De chaque minute qu’il peut nous rester

Wohohoy

Toujours on gravit des montagnes
Mais on n’est jamais seul, pour affronter nos peurs
Rester ensemble est indispensable
On a besoin de l’autre, malgré nos joies, nos fautes
C’est toujours le même problème

Bien évidemment il faudra qu’on s’en aille
Peu importe la manière, peu importe la cause
Profite de chaque instant en évitant les failles
C’est toujours le même dilemme
Vivre intensément sans la peur du lendemain
And try it, libres dans nos choix et faire face au quotidien

Car c’est un…

REFRAIN

Wohohoy

I feel it in my soul
Life with music and leave without it
Never want to miss it
From deep within my soul
Leave behind the sun dance for
A better life yes

Well

Malgré l’ambiance qu’il y a, tous les silences qu’il y a
J’entends pourtant que de partout des voix s’élèvent, il y a
Un nouvel air, c’est ça, chante avec moi on y va
Positive est l’action, en musique on combat
Malgré les chances qu’on a, par la méfiance qu’on a
Laisser monter des murs qu’il faudra briser
Prêt pour une nouvelle ère, optimiste on y croit
Pour faire bouger ses pères, en musique, on combat

Lorsque l’on prend des coups, se soigner par le son
Pour aller jusqu’au bout, c’est une course de fond
Viens bouger avec nous dans la même direction
On avance tranquillement sans précipitation
Face aux difficultés la vie est une bataille
Ne pas se faire emporter par de petits détails
Mais croire en l’amitié même quand l’espoir se taille
Again, and again, and again

Car c’est un…

REFRAIN

Wohohoy

On avait laissé les Dub inc. au sommet avec l'album « Hors Contrôle », une grosse claque musicale qui les avait imposés comme le plus grand groupe de Reggae français de ces dix dernières années. On les retrouve en 2013 avec « Paradise », leur cinquième album, et un statut qui les a amenés à devenir l'un des groupes internationaux les plus dynamiques du moment. Depuis cinq ans, le groupe stéphanois a en effet sillonné la planète Reggae allant du Portugal aux États-Unis, de la Colombie à l'Inde, de l'Allemagne au Sénégal, en exportant leurs feelings et leur vibes musicales devant plus d'un million de spectateurs ! A chaque fois l'accueil fut triomphal et le crew français est devenu à force de talent et de persévérance, un des meilleurs ambassadeurs du Reggae français à l'étranger.
MERCI: https://www.dub-inc.com/fr/bio/

mercredi 21 septembre 2016

TIM DUP - Vers les ourses polaires

CAP VERS L'ISLANDE
«Aux portes grises de Paris, je m'envole pour l'Islande, cette île aux mille couleurs, écrin sublime de feu et de glace !!! On va y tourner entre copains le clip de Vers les ourses polaires ❄️»
Tim Dup



PAROLES

Je vais ici et là, jouer de mon piano
dans des soirées, au fil de l'eau
Qu'est-ce que la vie des gens
sinon celle dont ils rêvaient enfants
Et moi, j'ai toujours voulu devenir
un ramasseur de souvenirs
J'effleure le blanc et le noir
En attendant que vienne le soir
ou une silhouette de hasard
dans la pénombre de ce bar

Oublie
La fadeur de ces jours
Pendu
à mes notes de velours

J'ai mis des sons, des rires et des airs
tout ça dans un grand sac de verre
J'ai pris mes cliques et quelques bières
Je suis parti jusqu'au bout de la Terre
J'ai mis des sons, des rires et des airs
tout ça dans un grand sac de verre
J'ai pris mes claques et mes chimères
Je suis parti voir les ourses polaires

Près pour le grand cabotage
de rencontre en partage
Je veux voir les autres autrement
toucher leur vie, leurs sentiments
Et nous partirons vaille que vaille
Au souffle de ce que nous sommes
Provoquer quelques entailles
À l'idée qu'on s' fait des hommes

Plus de peines ni d'histoires vaines
C'est décidé, ce soir, putain, je quitte la plaine

J'ai mis des sons, des rires et des airs
tout ça dans un grand sac de verre
J'ai pris mes cliques et quelques bières
Je suis parti jusqu'au bout de la Terre
J'ai mis des sons, des rires et des airs
tout ça dans un grand sac de verre
J'ai pris mes claques et mes chimères
Je suis parti voir les ourses polaires

J'ai mis des sons, des rires et des airs
tout ça dans un grand sac de verre
J'ai pris mes cliques et quelques bières
Je suis parti jusqu'au bout de la Terre
J'ai mis des sons, des rires et des airs
tout ça dans un grand sac de verre
J'ai pris mes claques et mes chimères
Je suis parti voir les ourses polaires
Polaires
Voir les ourses polaires
Polaires

jeudi 15 septembre 2016

ZAZ et PABLO ALBORAN - Sous le ciel de Paris

Très belle promenade dans les rues de Paris. 
Sur les murs, les pavés, les toits, les visages des deux artistes surgissent entourés de mille dessins...


PAROLES
Sous le ciel de Paris
S'envole une chanson hum hum
Elle est née d'aujourd'hui
Dans le cœur d'un garçon

(Sous le ciel de Paris
Marchent des amoureux hum hum
Leur bonheur se construit
Sur un air fait pour eux)

El cielo de Paris ve pasar al amor
amantes que van mostrándo su aire feliz

Sous le pont de Bercy
Un philosophe assis
Deux musiciens
Quelques badauds
Puis les gens par milliers

(Sous le ciel de Paris
Jusqu'au soir vont chanter hum hum
L'hymne d'un peuple épris
De sa vieille cité)

Bajo el cielo de Paris
canta el amanecer
eterna canción de amor
de esta vieja ciudad

Près de Notre-Dame
Parfois couve un drame
Oui mais à Paname
Tout peut s'arranger
Quelques rayons
Du ciel d'été
L'accordéon d'un marinier
L'espoir fleurit
Au ciel de Paris

Sous le ciel de Paris
Coule un fleuve joyeux hum hum
Il endort dans la nuit
Les clochards et les gueux

Sous le ciel de Paris
Les oiseaux du Bon Dieu hum hum
Viennent du monde entier
Pour bavarder entre eux

Et le ciel de Paris
A son secret pour lui
Depuis vingt siècles
Il est épris
De notre île Saint-Louis

Quand elle lui sourit
Il met son habit bleu hum hum
Quand il pleut sur Paris
C'est qu'il est malheureux

Quand il est trop jaloux
De ses millions d'amants hum hum
Il fait gronder sur eux
Son tonnerre eclatant

Mais le ciel de Paris
N'est pas longtemps cruel hum hum
Pour se faire pardonner
Il offre un arc-en-ciel

dimanche 11 septembre 2016

RENAUD et AXELLE RED - Manhattan Kaboul



PAROLES
Petit Portoricain
Bien intégré, quasiment New-Yorkais
Dans mon building tout de verre et d’acier,
Je prends mon job, un rail de coke, un café

Petite fille Afghane
De l’autre côté de la terre
Jamais entendu parler de Manhattan,
Mon quotidien, c’est la misère et la guerre

  Refrain                     Deux étrangers au bout du monde, si différents
                                  Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant
                                  Pulvérisés sur l’autel de la violence éternelle

Un 747
S’est explosé dans mes fenêtres
Mon ciel si bleu est devenu orage
Lorsque les bombes ont rasé mon village

Refrain 

So long ! Adieu mon rêve américain,
Moi plus jamais esclave des chiens
Ils t’imposaient l’Islam des tyrans
Ceux là ont-ils jamais lu le coran ?

Suis redev’nu poussière,
Je s’rai pas maître de l’univers,
Ce pays que j’aimais tellement serait-il
Finalement colosse aux pieds d’argile ?

Les dieux, les religions,
Les guerres de civilisation,
Les armes, les drapeaux, les patries, les nations,
F’ront toujours de nous de la chair à canon

Refrain

« La chanson Manhattan-Kaboul a été écrite en 2002, peu après les évènements du 11 septembre 2001 et la seconde guerre d'Aghanistan.
Elle retrace la journée du 11 septembre 2001, vécue par deux personnages complètement opposés : un portoricain travaillant dans leWorld Trade Center pendant l'offensive, et une enfant afghane tuée pendant l'attaque de la coalition armée menée par les Etats-Unis dans son pays dirigé par les talibans.
A partir du rapprochement de ces deux antipodes, Renaud remet en cause à la fois l'intégrisme musulman et la surpuissance américaine. Il rappelle aussi avec acuité et réalisme les désastres que provoquent les litiges politiques sur les populations innocentes des pays en guerre.
Composée par Jean-Pierre Bucolo 
Titres attribués :
- “Chanson originale de l'année” aux Victoires de la musique 2003.
- “Chanson francophone de l'année” aux NRJ Music Awards 2003.»

mardi 6 septembre 2016

LÉO FERRÉ chante GUILLAUME APOLLINAIRE - L'Adieu

Photographie de José Maria Laura



GUILLAUME APOLLINAIRE (1880-1918)

L'Adieu

J’ai cueilli ce brin de bruyère.
L’automne est morte, souviens-t’en.
Nous ne nous verrons plus sur terre
Odeur du temps, brin de bruyère,
Et souviens-toi que je t’attends.

jeudi 1 septembre 2016

ISABELLE BOULAY/ ISABELLE BOULAY et FRANCIS CABREL - C'était l'hiver

Chanson de Francis Cabrel (1979) interprétée par Isabelle Boulay (2002)






PAROLES
Elle disait «J’ai déjà trop marché,
Mon cœur est déjà trop lourd de secrets,
Trop lourd de peines.»
 Elle disait : «Je ne continue plus,
Ce qui m’attend, je l’ai déjà vécu,
C’est plus la peine.» 


Elle disait que vivre était cruel,
Elle ne croyait plus au soleil,
Ni aux silences des églises.                                                                                         
Même mes sourires lui faisaient  peur,
C’était l’hiver dans le fond de son cœur.

Le vent n’a jamais été  plus froid,
La pluie plus violente que ce soir-là,
Le soir de ses vingt ans,
Le soir où elle a éteint le feu,
Derrière la façade de ses yeux,
Dans un éclair blanc.


Elle a sûrement rejoint le ciel,                 
Elle brille  à côté du soleil,
Comme les nouvelles églises.                                    
Mais si depuis ce soir-là je pleure,                                                                                                         
C’est qu’il fait froid

Dans le fond de mon cœur.