«Aux États-Unis, l'adjectif « Legrandish » décrit une musique de film que l'on identifie tout de suite comme écrite par Michel Legrand. Lors de ce spectacle, l'Orchestre national d'Île-de-France interprète ses plus grands succès. Michel Legrand lui-même dirige l'orchestre et joue du piano. Tout comme son père Raymond, Michel Legrand est un compositeur prolifique, ayant écrit plus de deux cents musiques pour le cinéma et la télévision, pour des films comme « Les Parapluies de Cherbourg » et « L'Affaire Thomas Crown ».» MERCI! Les parapluies de Cherbourg Un duo qui continue dans les étoiles...
Extrait du concert "Michel Legrand and the cinema" - Salle Pleyel, 2009
PAROLES
(Extrait)
Non, je ne pourrai jamais vivre sans toi,
je ne pourrai pas, ne pars pas, j'en mourrai !
Un instant sans toi et je n'existe pas,
mais mon amour, ne me quitte pas.
Mon amour, je t'attendrai toute ma vie,
reste près de moi, reviens, je t'en supplie !
J'ai besoin de toi, je veux vivre pour toi,
oh, mon amour, ne me quitte pas.
On est tant, on est tout, on est si peu de choses
Et tellement tout qu'on ne sait plus très bien pourquoi on joue
On se laisse, on se lasse, on abandonne vite à la surface
Et quand tout dégringole, on se carapace
REFRAIN J'tape plus fort Et je passe à tabac tous mes remords Je me battrai sans abîmer personne Et je branche tout sur ON and ON and ON and ON and ON J'tape plus fort Quand au fond de la poitrine, ça cogne Je prendrai soin de n'abîmer personne Et je branche tout sur ON and ON and ON and ON and ON
On se pare, on se marre, on s’égare en chemin, on redémarre
On se met mal pour un soir juste pour voir
On s'éteint, on s’épaule, on repousse les trains, on tient des rôles
Et ma main dans la tienne me fait du bien
REFRAIN
On est je, on est tu
Et puis on devient nous
C'est le jeu
Et puis il y a vous, il y a eux
T'attache pas au temps qui passe
Un jour, il passera sans toi
Tu sais, les gens, ça se remplace
Quoiqu'en disent les grands
Mais dis-toi pourvu que ça dure
Cet amour que j'ai pour la vie
Il ouvre et ferme les blessures
Sans savoir ce qu'il fait
REFRAIN Ma petite fille, n'oublie pas qu'un jour Nous ne serons peut-être plus là Peu importe l'argent qui s'en va Qui revient dans tes mains L'argent ne sera rien Qu'un moyen, dis-toi bien Qu'il te faudra souvent vivre au jour le jour Mais ne fais jamais rien sans amour N'oublie pas qu'il ne faut pas qu'au fond De tes yeux tu aies honte Un jour d'avoir faibli Simplement par ennui
Il n'y a pas que les études
Pour pouvoir devenir quelqu'un
Mais si tu veux faire des études
Fais-les bien, ça vaut mieux
Mais si tu veux faire l'artiste
Moi, je ne t'empêcherai pas
De traîner un peu en coulisses
Si c'est ça ton bonheur
REFRAIN
Un beau jour, tu liras ces lignes
Ou qui sait tu les entendras
Tu me traiteras de débile
Ou de fou, pourquoi pas?
Mais sache que je suis sincère
Et que les mots ne servent à rien
C'est toi qui gagneras ta guerre
Toute seule, dans ton coin
Les mêmes matins d'hiver,
Les mêmes yeux mal ouverts,
Les mêmes détresses,
Les mêmes genoux griffés
Pour trouver à l'arrivée
La même maîtresse,
On se répétait sans cesse
Amis, amis,
Contre tous les coups du sort
De la journée,
On sera deux.
Amis, amis,
À la vie comme à la mort,
Plus emmêlés
Que nos cheveux.
Quand, trop vite, on a grandi,
On se retrouve transi.
Loin des jeux de billes,
Sous nos boutons de malheur
À se torturer le cœur
Pour la même fille,
Est-ce assez pour qu'on oublie ?
Amis, amis,
On a le sens de l'humour
Quand sont trop lourds
Ces chagrins-là.
Amis, amis,
À la vie comme à l'amour.
Chacun son tour
Les portera.
Tant d'histoires partagées,
De coups de cœur échangés,
D'amour et d'insulte
Pour ne pas s'apercevoir
Qu'on est dix ans sans se voir
Dans tout ce tumulte
Pour se retrouver adulte.
Amis, amis,
On n'a plus rien à se dire.
On a fini
Par arriver,
Amis, amis,
Doucement à devenir
Deux abrutis,
Deux étrangers.
«GiedRė Barauskaitė, dite GiedRé, naît le 23 octobre 1985 à Vilnius, capitale de la Lituanie. GiedRé a 7 ans quand sa maman, à la suite du décès de son mari, s'établit en banlieue parisienne avec son grand frère.
[...]
Mi-octobre 2014, GiedRé fête son 120 000ème fan déclaré, plus de 18 millions de vidéos visionnées, 350 concerts et plus de 25 000 albums vendus. GiedRé poursuit ses spectacles en tournées, qu'elle continue par auto-dérision à appeler "Tournantes 21" seule ou avec d'autres artistes, dans diverses salles en France, Belgique et Suisse...
Décrits comme crus, politiquement incorrects et teintés d'humour noir, les textes de GiedRé abordent des sujets comme la prostitution et la pédophilie. Ils contrastent avec son apparence innocente et ses costumes de scène enfantins. GiedRé estime que ses chansons ne sont pas provocantes, elle dit retranscrire la réalité, qui est selon elle « souvent choquante ».
MERCI: https://culture.tv5monde.com/musique/biographies-artistes/giedre-1196
PAROLES
Tu te demandes ce qui se passe après la mort
Si, quand on part, on existe un peu encore
Tu crois en quelque chose, mais tu sais pas vraiment quoi
Parce que c'est vrai ça, on peut pas juste partir comme ça
Ce qui se passera après ta mort, on le sait bien
On va te laver, te vider, te mettre dans une boîte en sapin
On va creuser un trou et mettre la boîte dedans
Et puis tout le monde ira boire des coups chez tes parents
Quand on est mort, tout est pareil qu'avant
C'est juste qu'on n'est plus là
Une fois qu'on meurt, la vie, c'est pas si différent
C'est juste qu'on n'en est pas
Les gens seront tristes et puis passés quelques mois
On donnera toutes tes affaires aux vide-greniers d'en bas
Parfois on retombera sur une photo de toi gamin
Mais à part ça tout sera pareil, toi en moins
Tu dis que la vie s'arrête alors qu'on a si peu vécu
Mais la vie elle s'arrête pas, c'est juste toi qui n'en es plus
Tu sais rien ne va changer quand tu ne seras plus là
Sois tranquille, il ne se passera rien quand tu mourras
Quand on est mort, tout est pareil qu'avant
C'est juste qu'on n'est plus là
Une fois qu'on meurt, la vie, c'est pas si différent
C'est juste qu'on n'en est pas
Quand on est mort, tout est pareil qu'avant
C'est juste qu'on n'est plus là
Une fois qu'on meurt, la vie, c'est pas si différent
C'est juste qu'on n'en est pas