mardi 23 janvier 2018
CARLA BRUNI - Salut marin
PAROLES
Salut marin, bon vent à toi
Tu as fait ta malle, tu as mis les voiles
Je sais que tu ne reviendras pas
On dit que le vent des étoiles
Est plus salé qu'un alizé
Est plus salé qu'un alizé
Plus entêtant qu'un mistral
Plus entêtant qu'un mistral
Au revoir marin, tu vas manquer
Au revoir marin, tu vas manquer
Tes yeux bleus, ton air d'amiral
Salut marin, bon vent à toi
Je te dis bon vent mais ça me fait mal
Car marin, tu emportes avec toi
Toute notre enfance de cristal
Et notre jeunesse de miel
Et notre jeunesse de miel
Et tous nos projets d'arcs-en-ciel
Et tous nos projets d'arcs-en-ciel
Et du Cap Horn à Etretat,
Du Havre aux plages de Goa
L'horizon à toi se rappelle
Vous, les marins, vous êtes ainsi
Vous ne savez rien d'autre que partir
Vous, les marins, vous êtes cruels
Vous nous laissez au large de vos souvenirs
Vous, les marins, vous êtes sans cœur
Vous préférez la mer à vos amours
Et les sirènes de chaque port
À vos mères, à vos femmes et à vos sœurs.
La vie, marin, passe sans bruit
Comme autrefois tout en secousses
Quelquefois c'est la houle et le roulis
Et quelquefois la vague est douce
Alors je fais comme il se doit
Alors je fais comme il se doit
Je vis tranquille au bord d'un précipice
Tranquille au bord d'un précipice
Marin, tu serais fier, je crois
Marin, tu serais fier, je crois
Je vis de face, le vent aux trousses
Tout comme toi.
dimanche 21 janvier 2018
CARLA BRUNI - Quelqu'un m'a dit
PAROLES
On me dit que nos vies ne valent pas grand chose
Qu'elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos chagrins il s'en fait des manteaux
Pourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?
On dit que le destin se moque bien de nous
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
Il parait qu'le bonheur est à portée de main
Alors on tend la main et on se retrouve fou
Pourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?
Mais qui est-ce qui m'a dit que toujours tu m'aimais
Je ne me souviens plus c'était tard dans la nuit
J'entends encore la voix, mais je ne vois plus les traits
Il vous aime, c'est secret, lui dites pas que j'vous l'ai dit
Tu vois quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encore, me l'a-t-on vraiment dit
Que tu m'aimais encore, serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?
On me dit que nos vies ne valent pas grand chose
Qu'elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos tristesses il s'en fait des manteaux
Pourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos chagrins il s'en fait des manteaux
Pourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?
On dit que le destin se moque bien de nous
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
Il parait qu'le bonheur est à portée de main
Alors on tend la main et on se retrouve fou
Pourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?
Mais qui est-ce qui m'a dit que toujours tu m'aimais
Je ne me souviens plus c'était tard dans la nuit
J'entends encore la voix, mais je ne vois plus les traits
Il vous aime, c'est secret, lui dites pas que j'vous l'ai dit
Tu vois quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encore, me l'a-t-on vraiment dit
Que tu m'aimais encore, serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?
On me dit que nos vies ne valent pas grand chose
Qu'elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos tristesses il s'en fait des manteaux
Pourtant quelqu'un m'a dit
Que tu m'aimais encore
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore
Serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?
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MADAME MONSIEUR - Mercy
Duo Madame Monsieur: Emilie Satt et Jean-Karl Lucas
PAROLES
Je suis née ce matin
Je m’appelle Mercy
Au milieu de la mer
Entre deux pays, Mercy
C’était un long chemin et Maman l’a pris
Elle m’avait dans la peau, huit mois et demi
Oh oui, huit mois et demi
On a quitté la maison, c’était la guerre
Sûr qu’elle avait raison, y avait rien à perdre
Oh non, excepté la vie
REFRAIN
Je suis née ce matin
Je m’appelle Mercy
On m’a tendu la main
Et je suis en vie
Je suis tous ces enfants
Que la mer a pris
Je vivrai cent mille ans
Je m’appelle Mercy
S'il est urgent de naître, comprenez aussi
Qu'il est urgent de renaître,
Quand tout est détruit, Mercy
Qu'il est urgent de renaître,
Quand tout est détruit, Mercy
Et là devant nos yeux y avait l’ennemie
Une immensité bleue peut-être infinie
Mais oui, on en connaissait le prix
Surgissant d’une vague, un navire ami
A redonné sa chance à notre survie
C’est là, que j’ai poussé mon premier cri
REFRAIN
Derrière les sémaphores, serait-ce le bon port ?
Que sera demain ?
Face à face ou main dans la main, que sera demain ?
Derrière les sémaphores, serait-ce le bon port ?
Que sera demain ?
Face à face ou main dans la main, que sera demain ?
Je suis née ce matin
Je m’appelle Mercy
Mercy, Mercy, Mercy, Mercy,
Mercy, Mercy, je vais bien merci
Mercy, Mercy, Mercy, Mercy,
Mercy, Mercy, je vais bien merci
Mercy, Mercy, Mercy, Mercy,
Mercy, Mercy, je vais bien merci
Une chanson sur le drame de la migration à l’Eurovision ?
«Mercy» pourrait faire sensation à Lisbonne, en mai prochain : un titre qui raconte le parcours d’un enfant né sur un navire de secours de migrants.
En marge de la sélection française à l’Eurovision 2018, «Destination Eurovision», France 2 dévoile sur les réseaux sociaux les candidats en lice pour – peut-être – décrocher un billet pour Lisbonne. La surprise vient du duo Madame Monsieur, qui compte défendre la France avec «Mercy».
Mercy est en fait le nom d’une petite fille née le 21 mars dernier sur un bateau de SOS Méditerranée qui venait en secours aux migrants. Les paroles sont assez explicites : «Je suis née ce matin, je m’appelle Mercy. On m’a tendu la main, et suis en vie. Je suis tous ces enfants que la mer a pris.» L’enfant a vu le jour parmi les 945 personnes sauvées, cette nuit-là, au large de l’Italie. La mère était seule à bord. Le père n'ayant plus donné de nouvelles depuis qu'il a été emprisonné en Lybie.
La naissance avait été médiatisée par Grégory Leclerc, un journaliste de Nice-Matin qui se trouvait en reportage sur le bateau lors de la naissance et qui avait immortalisé les premiers instants de Mercy via un tweet : «Une fille de 3,7 kg, magnifique. Sa maman nigériane, Taiwo, se porte bien». Selon SOS Méditerranée, elle était la quatrième petite fille à naître à bord de l’Aquarius…
MERCI: http://www.telepro.be/011-43421-Une-chanson-sur-le-drame-de-la-migration-a-l-Eurovision.html
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mercredi 17 janvier 2018
FRANÇOISE HARDY - Tous les garçons et les filles
JOYEUX ANNIVERSAIRE!
74 ans aujourd'hui!
PAROLES
Tous les garçons et les filles de mon âge
Se promènent dans la rue deux par deux
Tous les garçons et les filles de mon âge
Savent bien ce que c'est qu'être heureux
Et les yeux dans les yeux et la main dans la main
Ils s'en vont amoureux sans peur du lendemain
Oui mais moi, je vais seule par les rues, l'âme en peine
Oui mais moi, je vais seule, car personne ne m'aime
Mes jours comme mes nuits sont en tous points pareils
Sans joie et pleins d'ennui
personne ne murmure "je t'aime" à mon oreille
Tous les garçons et les filles de mon âge
Font ensemble des projets d'avenir
Tous les garçons et les filles de mon âge
Savent très bien ce qu'aimer veut dire
Et les yeux dans les yeux et la main dans la main
Ils s'en vont amoureux sans peur du lendemain
Oui mais moi, je vais seule par les rues, l'âme en peine
Oui mais moi, je vais seule, car personne ne m'aime
Mes jours comme mes nuits sont en tous points pareils
Sans joie et pleins d'ennui
oh! quand donc pour moi brillera le soleil?
Comme les garçons et les filles de mon âge connaîtrai-je
Bientôt ce qu'est l'amour
Comme les garçons et les filles de mon âge je me
Demande quand viendra le jour
Où les yeux dans ses yeux et la main dans sa main
J'aurai le cœur heureux sans peur du lendemain
Le jour où je n'aurai plus du tout l'âme en peine
Le jour où moi aussi j'aurai quelqu'un qui m'aime
samedi 13 janvier 2018
JEAN FERRAT - Nuit et Brouillard
PAROLES
Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés
Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants
Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent
Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres
Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés
Dès que la main retombe, il ne reste qu'une ombre
Ils ne devaient jamais plus revoir un été
La fuite monotone et sans hâte du temps
Survivre encore un jour, une heure, obstinément
Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs
Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir
Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel
Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vishnou
D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel
Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux
Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage
Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux?
Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge
Les veines de leurs bras soient devenues si bleues
Les Allemands guettaient du haut des miradors
La lune se taisait comme vous vous taisiez
En regardant au loin, en regardant dehors
Votre chair était tendre à leurs chiens policiers
On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours
Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour
Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire
Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare
Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter
L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été
Je twisterais les mots s'il fallait les twister
Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez
Vous étiez vingt et cent, vous étiez des milliers
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés
Qui déchiriez la nuit de vos ongles battants
Vous étiez des milliers, vous étiez vingt et cent
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violence
JULIETTE et GUILLAUME DEPARDIEU - Une lettre oubliée
PAROLES
Mon amour, ma bien-aimée,
Me voici trop loin de toi
Comment survivre éloigné
De ton cœur et de tes bras
De mon cœur et de mes bras
Tiens, je l’avais oubliée
Cette lettre et qui ma foi,
Peut me l’avoir envoyée?
Si tu savais quel ennui
Loin de nos jeux amoureux
Est-ce André ou est-ce Henri
Est-ce Paul aux si beaux yeux?
Rien ne distrait la folie
Qui m’entoure mais rien ne peut
Détourner mon cœur épris
Non ça ne peut être lui…
Mon amour, mon feu, ma joie
Je reviendrai sois-en sûre
Vrai, c’est la première fois
Que je vois cette écriture
Ton portrait posé sur moi
Me protège et me rassure
Cette lettre entre mes doigts
Serait-elle une imposture?
Oui, l’enfer est de ce monde
Mais le pire est de compter
Ces heures, ces jour,s ces secondes
Qui nous tiennent séparés
J´ai beau chercher dans la ronde
De mes amoureux passés
Dans quelle amnésie profonde
Cet amant-là s’est noyé
Mon amour, ma toute belle
Je t’aime et je t’aime tant
Il n’y a rien d’éternel
Rien qui ne résiste au Temps
Un baiser sur ta prunelle
Sur ta bouche tout autant
Rien qui ne résiste au Temps
Et la mémoire est cruelle…
Mais adieu ma vie, mon cœur,
Il faut bien que je m’en aille
On m’appelle, il est six heures
À demain vaille que vaille
À moins que ton artilleur
N’ait pour seules funérailles
Que les tranchées et la peur,
Le vacarme et la mitraille
Sur ces pages abîmées
Il manque l’ultime morsure
La certitude affirmée
D´une simple signature
Mon amour si d’aventure
Au front je devais tomber
Je voudrais que tu me jures
De ne jamais m’oublier
Je voudrais que tu me jures
De ne jamais m’oublier
BARBARA / ANGELINA WISMES - Mon enfance
PAROLES
J'ai eu tort, je suis revenue
dans cette ville au loin perdue
où j'avais passé mon enfance.
J'ai eu tort, j'ai voulu revoir
le coteau où glissaient le soir
bleu et gris ombres de silence.
Et j’ai retrouvé comme avant,
longtemps après,
le coteau, l'arbre se dressant,
comme au passé.
J'ai marché les tempes brûlantes,
croyant étouffer sous mes pas,
les voix du passé qui nous hantent
et reviennent sonner le glas.
Et je me suis couchée sous l'arbre
et c'était les mêmes odeurs
et j'ai laissé couler mes pleurs,
mes pleurs.
J'ai mis mon dos nu à l'écorce,
l'arbre m'a redonné des forces,
tout comme au temps de mon enfance.
Et longtemps j'ai fermé les yeux,
je crois que j'ai prié un peu,
je retrouvais mon innocence.
Avant que le soir ne se pose,
j'ai voulu voir
la maison fleurie sous les roses,
J'ai voulu voir,
Le jardin où nos cris d'enfants
jaillissaient comme source claire.
Jean-Claude et Régine et puis Jean,
tout redevenait comme hier.
Le parfum lourd des sauges rouges,
les dahlias fauves dans l'allée,
le puits, tout, j'ai tout retrouvé,
hélas.
La guerre nous avait jetés là,
d'autres furent moins heureux je crois,
au temps joli de leur enfance.
La guerre nous avait jetés là,
nous vivions comme hors la loi,
et j'aimais cela quand j'y pense.
Oh mes printemps, oh mes soleils,
oh mes folles années perdues,
oh mes quinze ans, oh mes merveilles,
que j'ai mal d'être revenue.
Oh les noix fraîches de septembre
et l'odeur des mûres écrasées,
c'est fou, tout, j'ai tout retrouvé,
hélas.
Il ne faut jamais revenir
aux temps cachés des souvenirs
du temps béni de son enfance.
Car parmi tous les souvenirs
ceux de l'enfance sont les pires,
ceux de l'enfance nous déchirent.
Oh ma très chérie, oh ma mère,
où êtes-vous donc aujourd'hui ?
Vous dormez au chaud de la terre
et moi, je suis venue ici
pour y retrouver votre rire,
vos colères et votre jeunesse,
et je reste seule avec ma détresse,
hélas.
Pourquoi suis-je donc revenue
et seule au détour de ces rues
j'ai froid, j'ai peur, le soir se penche.
Pourquoi suis-je venue ici,
où mon passé me crucifie,
où dort à jamais mon enfance ?
dimanche 7 janvier 2018
FRANCE GALL - Evidemment
La chanteuse France Gall est morte
L’interprète de « Résiste », « Il jouait du piano debout » ou « Tout pour la musique », qui a été la muse et l’épouse de Michel Berger, a succombé à un cancer à l’âge de 70 ans.
MERCI: http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2018/01/07/la-chanteuse-france-gall-est-morte_5238465_3382.htmlChanson de l'album : "Babacar" - 1987, écrite par Michel Berger en hommage à leur ami Daniel Balavoine disparu dans un accident d'hélicoptère le 14 janvier 1986.
PAROLES
Y a comme un goût amer en nous
Comme un goût de poussière dans tout
Et la colère qui nous suit partout
Y a des silences qui disent beaucoup
Plus que tous les mots qu'on avoue
Et toutes ces questions qui ne tiennent pas debout
Évidemment
Évidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant
Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour des bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Et ces batailles dont on se fout
C'est comme une fatigue, un dégoût
À quoi ça sert de courir partout
On garde cette blessure en nous
Comme une éclaboussure de boue
Qui n'change rien, qui change tout
Évidemment
Évidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant
Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour des bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Pas comme avant
MICHEL BERGER et FRANCE GALL - Laissez passer les rêves
MICHEL BERGER (1947 - 1992)
FRANCE GALL (1947- 2018)
«France Gall et Michel Berger, couple inoubliable de la chanson française
« Il jouait du piano debout », « Résiste », « Ella, elle l’a »… Autant de morceaux qui symbolisent la carrière de la chanteuse et qui sont nés sous l’impulsion de celui dont elle fut l’épouse, la muse et l’interprète pendant près de vingt ans.»
PAROLES
Laissez passer les rêves
Celui de Jacky Chang, celui de Luther King.
Que le matin se lève
Sur un tout nouveau monde comme on l'imagine.
Plus on avance, plus il nous faut d'espace
À force de manquer d'air
Il nous faut le paradis pour oublier l'enfer.
Laissez passer,
Laissez passer les rêves, yeah.
Laissez passer,
Laissez passer les rêves, yeah.
Laissez passer tous les fous qui dansent.
L'illusion vaut bien la révérence
Sinon la préférence.
Laissez passer,
Laissez passer les rêves, yeah, yeah.
Laissez passer les rêves
Celui de Thérésa, et de Charly Chaplin.
Que nos visions enlèvent
Le poids de l'inconnu, le futur qu'on devine.
On a besoin d'agrandir le mystère
On a besoin de regarder la Lune pour oublier la Terre.
Laissez passer,
Laissez passer les rêves, yeah.
Laissez passer,
Laissez passer les rêves, yeah.
Stevenson, Jules Verne ou Georges Owell.
Picasso qui peint "Les Demoiselles".
Edgar Poe écrivant ses nouvelles.
L'homme oiseau qui veut battre des ailes
Pour attraper le ciel.
Laissez passer,
Laissez passer les rêves, yeah.
Laissez passer,
Laissez passer les rêves, yeah.
Laissez passer,
Laissez passer les rêves, yeah.
...
samedi 6 janvier 2018
MARC LAVOINE - Reviens mon Amour
PAROLES
D'abord, j'ai perdu ma langue
Et puis j'ai perdu mes clefs
Ensuite, j'ai perdu le nord, la tête un soir d'été
J'ai perdu mon adresse et puis j'ai perdu mon âme
J'ai perdu mon chemin
J'ai perdu d'avance, j'ai perdu la guerre
J'ai perdu le sens de l'humour, des affaires
Et puis j'ai perdu la mémoire, j'ai perdu le sourire
Le jour où j'ai perdu mon père
J'ai perdu à la loterie
REFRAIN (bis)
Oh, viens me retrouver
Reviens mon amour
Pour dix de retrouvées
Je n'ai qu'un amour
Alors, j'ai perdu ma jeunesse
Et puis j'ai perdu confiance
J'ai perdu au poker, j'ai perdu la conscience
J'ai perdu la beauté, le goût, le toucher
J'ai perdu mes papiers, j'ai perdu mon identité
J'ai perdu la raison, j'ai perdu ma maison
J'ai perdu à tort ou à raison
J'ai perdu mon enfance
Et puis je t'ai perdue
J'ai perdu mon aimée
Il me reste la vie
J'ai perdu à la loterie
REFRAIN (bis)
D'abord, j'ai perdu ma langue
Et puis j'ai perdu mes clefs
Ensuite, j'ai perdu le nord, la tête un soir d'été
J'ai perdu mon adresse et puis j'ai perdu mon âme
J'ai perdu mon chemin
J'ai perdu d'avance, j'ai perdu la guerre
J'ai perdu le sens de l'humour, des affaires
Et puis j'ai perdu la mémoire, j'ai perdu le sourire
Le jour où j'ai perdu mon père
J'ai perdu à la loterie
REFRAIN
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amour,
L,
M,
mort,
perte,
saudade,
séparation,
souffrance
ORELSAN - Tout va bien
PAROLES
Dors
Dors
Si le monsieur dort dehors, c'est qu'il aime le bruit des voitures
S'il s'amuse à faire le mort, c'est qu'il joue avec les statues
Et si, un jour, il a disparu, c'est qu'il est devenu millionnaire
C'est qu'il est sûrement sur une île avec un palmier dans sa bière
REFRAIN
Tout va bien, tout va bien
Petit, tout va bien, tout va bien
Tout va bien, petit, tout va bien
Tout va bien, tout va bien
Si la voisine crie très fort, c'est qu'elle a pas bien entendu
Si elle a du bleu sur le corps, c'est qu'elle a joué dans la peinture
Et si, un jour, elle a disparu, c'est qu'elle est partie en lune de miel
En attendant les jours de pluie, elle met ses lunettes de soleil
REFRAIN
Si les hommes se tirent dessus, c'est qu'y a des vaccins dans les balles
Et si les bâtiments explosent, c'est pour fabriquer des étoiles
Et si un jour ils ont disparu, c'est qu'ils s'amusaient tellement bien
Qu'ils sont partis loin faire une ronde, tous en treillis, main dans la main
REFRAIN
Dors
Dors
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