Nous partageons ici, dans ce petit abri francophone, cette très belle chanson interprétée... en portugais...
Mais nous vous laissons les paroles en français! 😊
José Maria Laura
PAROLES
(Notre traduction - José Maria Laura)
Si un jour quelqu'un te demande de mes nouvelles
Réponds que je n'ai vécu que pour t'aimer
Avant toi, j'existais seulement
Fatigué et sans rien avoir à donner
Mon amour, entends mes prières
Je te supplie de revenir, de me vouloir à nouveau
Je sais bien que l'on ne peut aimer tout seul
Doucement, peut-être, pourrais-tu réapprendre
Si ton cœur ne veut pas céder,
Ne ressent pas la passion, ne veut pas souffrir,
Sans prévoir ce qui va advenir,
Mon cœur peut aimer pour deux
PAROLES
Des amours meurent, des amours naissent
Les siècles passent et disparaissent
Ce que tu crois être la mort
C'est une saison et rien de plus
Un jour lassé de cette errance
Tu t'en iras quelle importance
Car la Terre tournera encore
Même quand nous ne tournerons plus
REFRAIN Embrasse-moi, dis-moi que tu m'aimes Fais-moi sourire au beau milieu d'un requiem Embrasse-moi, dis-moi que tu m'aimes Fais-moi danser jusqu'à ce que le temps nous reprenne Ce qu'il a donné Un an, deux ans, cent ans de bonheur Puis la vie te cueille comme une fleur Fais-moi marrer j'en ai besoin En attendant que sonne l'heure Un an, deux ans, cent ans à deux Et puis un jour on est tout seul On pleure mais on survit quand même C'est la beauté du requiem
Les étincelles deviennent des flammes
Les petites filles deviennent des femmes
Ce que tu crois être la mort
C'est un brasier et rien de plus
Nos déchirures, nos déchéances
On pense qu'elles ont de l'importance
Mais demain renaîtra le jour
Comme si nous n'avions pas vécu
REFRAIN
Des amours naissent, des amours meurent
Ce soir enfin je n'ai plus peur
Je sais que je t'aimerai encore
Quand la Terre ne tournera plus
Des amours naissent, des amours meurent
Ce soir enfin je n'ai plus peur
Je sais que je t'aimerai encore
Quand la Terre ne tournera plus
Embrasse-moi, dis-moi que tu m'aimes
Fais-moi sourire au beau milieu d'un requiem
Embrasse-moi, dis-moi que tu m'aimes
Fais-moi danser jusqu'à ce que le temps nous reprenne
Ce qu'il a donné
Ce qu'il a donné
Ce qu'il a donné
Ce qu'il a donné
Ce qu'il a donné
Le jour se lève
La vie reprend
Faut remplir la gamelle
Mais tout en souriant
Les proches appellent
Ils prennent des nouvelles
Mon sourire leur ment
Rien n'est plus comme avant
Je fais semblant
Au milieu des gens
Je chante, je danse mais quand arrive la nuit
Ton absence et ton fou rire
Font trop de bruit, impossible de dormir
Donc je roule, roule , roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
Larme à l’œil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des si
Oui, je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu'au bout de la nuit
J’accélère
Majeur en l'air
En insultant ta foutue maladie
On pense à toi
On pleure parfois
On s'demande pourquoi
Mais ainsi va la vie
Au moins cette fois ta douleur n'est plus là
Tu reposes en paix, on croit au paradis
Tu nous voulais fort
Tu nous voulais heureux
Donc j'ai repris le sport
Je fais de mon mieux
Mais la nuit ton souvenir
Fait trop de bruit, impossible de dormir
Donc je roule, roule , roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
Larme à l’œil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des si
Oui, je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu'au bout de la nuit
J’accélère
Majeur en l'air
En insultant ta foutue maladie
Rien n'sera plus comme avant
Il est temps d'aller de l'avant
Il est temps de dire au revoir
Mais sur le quai de l'insomnie
Tous les trains me mènent à lui
Donc comme tous les soirs
Oui, je roule, roule , roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
Larme à l’œil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des si
Oui, je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu'au bout de la nuit
J’accélère
Majeur en l'air
En insultant ta foutue maladie
Oui, je roule, roule , roule, roule, roule
Dans les rues de ma ville
Larme à l’œil, la boule au ventre
Je refais le monde avec des si
Oui, je roule, roule, roule, roule, roule
Jusqu'au bout de la nuit
J’accélère
Majeur en l'air
En insultant ta foutue maladie
Paroles et Musique: Pierre Delanoé, Gérard Lenorman - 1980
PAROLES
Il était une fois à l'entrée des artistes
Un petit garçon blond au regard un peu triste
Il attendait de moi une phrase magique
Je lui dis simplement : si j'étais Président
Si j'étais Président de la République
Jamais plus un enfant n'aurait de pensée triste
Je nommerais bien sûr Mickey premier ministre
De mon gouvernement, si j'étais président Simplet à la culture me semble une évidence Tintin à la police et Picsou aux finances Zorro à la justice et Minnie à la danse
Est-ce que tu serais content si j'étais président ? Tarzan serait ministre de l'écologie Bécassine au commerce, Maya à l'industrie,
Je déclarerais publiques toutes les pâtisseries
Opposition néant, si j'étais Président
Si j'étais Président de la République
J'écrirais mes discours en vers et en musique
Et les jours de conseil on irait en pique-nique
On f'rait des trucs marrants si j'étais Président
Je recevrais la nuit le corps diplomatique
Dans une super disco à l'ambiance atomique
On se ferait la guerre à grands coups de rythmique
Rien ne serait comme avant, si j'étais président
Au bord des fontaines coulerait de l'orangeade Coluche notre ministre de la rigolade
Imposerait des manèges sur toutes les esplanades
On s'éclaterait vraiment, si j'étais président !
Chœur- enfants
Si t'étais Président de la République
Pour nous, tes p'tits copains, ça s'rait super pratique
On pourrait rigoler et chahuter sans risques
On serait bien contents si t'étais Président
Je s'rai jamais Président de la République
Vous les petits malins vous êtes bien sympathiques
Mais ne comptez pas sur moi pour faire de la politique
Pas besoin d'être Président, pour aimer les enfants.
La la la la la ..........
Danièle Darrieux a 100 ans aujourd'hui, le 1er mai!
"Je suis une très bonne vivante"
EN 1959...
PAROLES
Il est revenu le temps du muguet
Comme un vieil ami retrouvé
Il est revenu flâner le long du quai
Jusqu'au banc où je t'attendais
Et j'ai vu refleurir
L'éclat de ton sourire
Aujourd'hui plus beau que jamais
Le temps du muguet ne dure jamais
Plus longtemps que le mois de mai
Quand tous ses bouquets déjà seront fanés
Pour nous deux rien n'aura changé
Aussi belle qu'avant
Notre chanson d'amour
Chantera comme au premier jour
Il s'en est allé le temps du muguet
Comme un vieil ami fatigué
Pour toute une année, pour se faire oublier
En partant, il nous a laissé
Un peu de son printemps
Un peu de ses vingt ans
Pour s'aimer, pour s'aimer longtemps