«Volo ce sont deux frères, Frédéric et Olivier Volovitch. Originaires de Tours, vous les avez peut-être vus avec le groupe Wriggles qui était connu pour ses tenues rouges. L’aventure du duo commence en 2005 avec la parution de l’album Bien Zarbos. Depuis c’est trois autres opus qui viennent ponctuer la carrière discrète de Volo, le dernier, Sans rire, datant de 2013.
Volo c’est de la chanson française, des textes parfois engagés, des mélodies où la guitare est reine…»
MERCI: http://www.aficia.info/actualite-musique/volo-tabarnak-premisse-de-lalbum/84998
PAROLES
Je ne sais pas de qui je parle
Je suis très loin d'imaginer
Ce que veut dire le dernier râle
Ne me sentant pas trop concerné
Par les derniers instants de la vie
Quand il faudra quitter ce monde
Et quitte à avoir un avis
Pour vivre les dernières secondes
REFRAIN
J'voudrais mourir au bord d'un lac
Partir dans un beau tabarnak
Finir dans l'herbe sur le dos
Dernier soupir les pieds dans l'eau
J'voudrais mourir au bord d'un lac
Partir dans un beau tabarnak
Près d'un p'tit chalet dans les bois
Sur un bout de terrain québécois
Je ne peux pas me rappeler
Ni m'appuyer sur du vécu
Si ça m'était déjà arrivé
Je pense que je m'en serais souvenu
Entre les 36 000 façons
Ou bien les mille et une manières
Et quitte à trouver le temps long
Comme la première fois est la dernière
REFRAIN
La belle province, c'est personnel
Le tabarnak même sans l'accent
Au moins ça fait pas trop solennel
Et ça s'dit bien en expirant
Comme je n'sais pas de quoi je cause
Si je n'connais rien du sujet
Et quitte à voir la mort en rose
Avant qu'ce soit pour plus jamais
REFRAIN
samedi 17 décembre 2016
mardi 6 décembre 2016
AGNÈS BIHL ET YVES JAMAIT - Jamais plus jamais
PAROLES
Essayer de mourir
Surtout ne pas crever
Surtout ne rien sentir
Fermer son cœur à clé
Juste laisser crouler
Mon pauvre amour en panne
Juste laisser couler
Mon rimmel et mes larmes
Ou le contraire si tu préfères
On peut pleurer même en enfer
Ne plus jamais t'attendre
Ne plus jamais te voir
Ne plus jamais t'entendre
Et ne plus rien savoir
Ni parler ni crier
Ni pleurer ni me taire
Ni t'aimer même plus
Si ça pouvait te plaire
Ou le contraire si tu préfères
On peut rêver même en enfer
Pour ne rien te cacher
Je te comprends tu sais
Moi aussi je voudrais
Je voudrais me quitter
Ne jamais dire jamais
Ne plus jamais être la même
Ne jamais dire j'aimais
Ne dirais plus jamais je t'aime
Ne plus jamais dormir
Surtout ne pas rêver
Ne plus rien devenir
Et ne plus te manquer
Surtout ne pas se battre
Se battre à coup de peur
Et surtout ne plus battre
Ne plus battre mon cœur
Ou le contraire si tu préfères
On peut craquer même en enfer
Juste se souvenir
De perdre la mémoire
Ne plus jamais te dire
Que j'ai peur dans le noir
Ni te chercher partout
Comme quand on était fous
Quand on se disait tout
Quand on se disait vous
Ou le contraire si tu préfères
On peut s'aimer même en enfer
Pour ne rien te cacher
Je voudrais tout casser
Et puis tout oublier
Même de t'oublier
Ne jamais dire jamais
Ne plus jamais être le même
Ne jamais dire j'aimais
Ne dirais plus jamais je t'aime
En ce moment c'est vrai
J'ai du mal à m'offrir
En ce moment tu sais
J'ai très mal à sourire
Alors je ris très fort
Pour faire beaucoup de bruit
Alors je fais le mort
Et l'amour à crédit
Ou le contraire si tu préfères
On peut crâner même en enfer
Moi je suis prête à tout
Peut-être c'est possible
Je serais ton bijou
Ou ta femme invisible
Et si tu me reviens
D'un coup de téléphone
Je ne serai plus rien
Ni même plus personne
Ou le contraire si tu préfères
On peut crever même en enfer
Pour ne rien te cacher
Oui tu vois j'en suis là
Pour me sentir vivante
Avec un cœur qui bat
Ne jamais dire jamais
Ne plus jamais être les mêmes
Ne jamais dire j'aimais
Ne dirais plus jamais je t'aime
Ne jamais dire jamais
Ne plus jamais être les mêmes
Ne jamais dire j'aimais
Ne dirais plus jamais je t'aime
Ne dirais plus jamais je t'aime
Jusqu'à la fois prochaine
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GÉRARD BERLINER - Louise
En 1982,
une histoire touchante qui nous arrive du début du XXe siècle...
PAROLES
Mais qui a soulagé sa peine
Porté son bois, porté les seaux,
Offert une écharpe de laine
Le jour de la foire aux chevaux
Et qui a pris soin de son âme
Et l'a bercée dedans son lit
Qui l'a traitée comme une femme
Au moins une fois dans sa vie
Le bois que portait Louise
C'est le Bon Dieu qui le portait
Le froid dont souffrait Louise
C'est le Bon Dieu qui le souffrait
C'n'était qu'un homme des équipes
Du chantier des chemins de fer
À l'heure laissée aux domestiques
Elle le rejoignait près des barrières
Me voudras-tu moi qui sais coudre
Signer mon nom et puis compter
L'homme à sa taille sur la route
Passait son bras, la promenait
L'amour qui tenait Louise
C'est le Bon Dieu qui le tenait
Le regard bleu sur Louise
C'est le Bon Dieu qui l'éclairait
Ils sont partis vaille que vaille
Mourir quatre ans dans les tranchées
Et l'on raconte leurs batailles
Dans le salon après le thé
Les lettres qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui les portait
La guerre qui séparait Louise
C'est le Bon Dieu qui la voyait
Un soir d'hiver sous la charpente
Dans son lit cage, elle a tué
L'amour tout au fond de son ventre
Par une aiguille à tricoter
Si je vous garde Louise en place
C'est en cuisine pas devant moi
Ma fille priez très fort pour que s'efface
Ce que l'curé m'a appris là
Et la honte que cachait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a cachée
Le soldat qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a vu tomber
Y a cinquante ans, c'était en France
Dans un village de l'Allier
On n'accordait pas d'importance
À une servante sans fiancé
Le deuil qu'a porté Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a porté
La vie qu'a travaillé Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a aidée
une histoire touchante qui nous arrive du début du XXe siècle...
PAROLES
Mais qui a soulagé sa peine
Porté son bois, porté les seaux,
Offert une écharpe de laine
Le jour de la foire aux chevaux
Et qui a pris soin de son âme
Et l'a bercée dedans son lit
Qui l'a traitée comme une femme
Au moins une fois dans sa vie
Le bois que portait Louise
C'est le Bon Dieu qui le portait
Le froid dont souffrait Louise
C'est le Bon Dieu qui le souffrait
C'n'était qu'un homme des équipes
Du chantier des chemins de fer
À l'heure laissée aux domestiques
Elle le rejoignait près des barrières
Me voudras-tu moi qui sais coudre
Signer mon nom et puis compter
L'homme à sa taille sur la route
Passait son bras, la promenait
L'amour qui tenait Louise
C'est le Bon Dieu qui le tenait
Le regard bleu sur Louise
C'est le Bon Dieu qui l'éclairait
Ils sont partis vaille que vaille
Mourir quatre ans dans les tranchées
Et l'on raconte leurs batailles
Dans le salon après le thé
Les lettres qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui les portait
La guerre qui séparait Louise
C'est le Bon Dieu qui la voyait
Un soir d'hiver sous la charpente
Dans son lit cage, elle a tué
L'amour tout au fond de son ventre
Par une aiguille à tricoter
Si je vous garde Louise en place
C'est en cuisine pas devant moi
Ma fille priez très fort pour que s'efface
Ce que l'curé m'a appris là
Et la honte que cachait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a cachée
Le soldat qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a vu tomber
Y a cinquante ans, c'était en France
Dans un village de l'Allier
On n'accordait pas d'importance
À une servante sans fiancé
Le deuil qu'a porté Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a porté
La vie qu'a travaillé Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a aidée
(1956-2010)
lundi 5 décembre 2016
MIKA - Vive le vent
PAROLES
Sur le long chemin
Tout blanc de neige blanche
Un vieux monsieur s’avance
Avec sa canne dans la main
Et tout là-haut le vent
Qui siffle dans les branches
Lui souffle la romance
Qu’il chantait petit enfant.
Oh !
Vive le vent
Vive le vent
Vive le vent d’hiver
Qui s’en va sifflant, soufflant
Dans les grands sapins verts
Oh !
Vive le temps
Vive le temps
Vive le temps d’hiver
Boule de neige et jour de l’an
Et bonne année grand-mère !
Joyeux, joyeux Noël
Aux milles bougies
Quand chantent vers le ciel
Les cloches de la nuit,
Oh !
Vive le vent
Vive le vent
Vive le vent d’hiver
Qui rapporte aux vieux enfants
Leurs souvenirs d’hier.
Et le vieux monsieur
Descend vers le village
C’est l’heure où tout est sage
Et l’ombre danse au coin du feu.
Mais dans chaque maison
Il flotte un air de fête
Partout la table est prête
Et l’on entend la même chanson.
Vive le vent
Vive le vent
Vive le vent d’hiver
Qui s’en va sifflant, soufflant
Dans les grands sapins verts
Vive le temps
Vive le temps
Vive le temps d’hiver
Boule de neige et jour de l’an
Et bonne année grand-mère !
Joyeux, joyeux Noël
Aux milles bougies
Quand chantent vers le ciel
Les cloches de la nuit,
Oh !
Vive le vent
Vive le vent
Vive le vent d’hiver
Qui rapporte aux vieux enfants
Leurs souvenirs d’hier.
Vive le vent
Vive le vent
Vive le vent d’hiver
Qui s’en va sifflant, soufflant
Dans les grands sapins verts
Vive le temps
Vive le temps d’hiver
Boule de neige et jour de l’an
Et vive le vent d’hiver !
ÉDITH PIAF / OLIVIA RUIZ - Le Noël de la rue
PAROLES
Petit bonhomme où t'en vas-tu
Courant ainsi sur tes pieds nus ?
Je cours après le Paradis
Car c'est Noël à ce qu'on dit...
Le Noël de la rue
C'est la neige et le vent
Et le vent de la rue
Fait pleurer les enfants
La lumière et la joie
Sont derrière les vitrines
Ni pour toi, ni pour moi
C'est pour notre voisine
Mon petit, amuse-toi bien
En regardant, en regardant
Mais surtout, ne touche à rien
En regardant de loin...
Le Noël de la rue
C'est le froid de l'hiver
Dans les yeux grands ouverts
Des enfants de la rue
Collant aux vitres leurs museaux
Tous les petits font le gros dos
Ils sont blottis comme des Jésus
Que Sainte Marie aurait perdus...
Le Noël de la rue
C'est la neige et le vent
Et le vent de la rue
Fait pleurer les enfants
Ils s'en vont reniflant,
Ils s'en vont les mains vides
Nez en l'air et cherchant
Une étoile splendide
Mon petit, si tu la vois
Tout en marchant, tout en marchant
Chauffes-y tes petits doigts
Tout en marchant bien droit
Le Noël de la rue
C’est au ciel de leur vie
Une étoile endormie
Qui n’est pas descendue.
jeudi 1 décembre 2016
CLAUDIO CAPÉO- Ça va, ça va
PAROLES
qui me rend si dur et si tendre
Qui sait m'parler quand j'suis barré
Qu'j'veux rien entendre
Quand j'ai le cœur sourd
Quand j'ai le cœur lourd
Des pluies de peines
La lame trempée dans de l'acier
Quand j'suis paumé, que tout m’enchaîne
J'ai parfois l'âme prise
Dans des filets qui me tourmentent
J'ai parfois l'âme grise
Et si ce soir, tu me demandes
Comment ça va, ça va, ça va, ça va
Sur ma planète
J'te répondrai ça va, ça va, ça va
Comme ci comme ça
Les bières, les vins que je bois en vain
N'ont pas le goût de la fête
Mais tant qu'on a le cœur qui bat, qui bat
Ça va, ça va
À toi l'ami
Le seul homme qui m'a tenu la main
Quand tous les jours j'm'en faisais
Pour les lendemains
Toi dont je sais que même blessé
T'es toujours là
Pour me porter
Pour abréger
Ma peine jusqu'à c'que je sois léger
J'ai parfois l'âme en crise
Ma joie de vivre, qu'on me la rende
Mon bonheur me méprise
Et si ce soir tu me demandes
Comment ça va, ça va, ça va, ça va
Sur ma planète
J'te répondrai ça va, ça va, ça va
Comme ci comme ça
Les bières, les vins que je bois en vain
N'ont pas le goût de la fête
Mais tant qu'on a le cœur qui bat, qui bat
Ça va, ça va
À ceux que j'ai parfois négligé
Peut être un peu libre
Pour pas déranger
Moi le naufragé
Sur mon bateau ivre
J'ai pas de bouée
Pas de feu de détresse
Je suis pas doué pour les caresses
Mais si jamais vous m'demandez
Quand tout me blesse
Comment ça va, ça va, ça va, ça va
Sur ma planète
J'vous répondrai ça va, ça va, ça va
Comme ci comme ça
Les bières, les vins que je bois en vain
N'ont pas le goût de la fête
Mais tant qu'on a le cœur qui bat, qui bat
Ça va, ça va
Comment ça va, ça va, ça va, ça va
Sur ma planète
J'te répondrai ça va, ça va, ça va
Comme ci comme ça
Les bières, les vins que je bois en vain
N'ont pas le goût de la fête
Mais tant qu'on a le cœur qui bat, qui bat
Ça va, ça va
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